Nom de code "SAFISHA"
La guerre civile au Burundi n'a pas encore commencé. N'en déplaise aux politiciens véreux qui veulent utiliser la situation actuelle sur la violation des droits de l'homme.
Certaines personnes ne comprennent pas la traque qui s'effectue aujourd'hui a l'encontre des membres du FNL. Ce n'est ni une forme pour combattre la rébellion naissante ni une purge des opposants issus de la nébuleuse ADC-IKIBIRI mais plutôt une vengeance bien organisée par le CNDD-FDD depuis des années.
Il y a quelques mois, dans son congres, le CNDD-FDD avait annoncé avec grande pompe que pendant le maquis ils avaient perdu environ 10.000 hommes. Ce que le président n'a pas dit a haute voie et que tout le monde sait aujourd'hui c'est que 80 % de leurs morts sont imputables aux combattants du FNL-PALIPEHUTU et non aux forces gouvernementales de l’époque.
Aujourd'hui la permission a été donnée a tout les membres qui désirent se venger de cette époque tragique du parti au pouvoir. N'en déplaise aux défenseurs des droits de l'homme. Ce qui donne des ailes au parti présidentiel c'est que aucun membre de la communauté internationale ne lèvera son petit doigt pour défendre ce qu'ils appellent aujourd'hui les "mauvais hutu". Le FNL-PALIPEHUTU passe pour certains médium étrangers comme des cousins germains des INTERAHAMWE.
Du nom de code "SAFISHA", l’opération consiste a nettoyer le pays des éléments du FNL-PALIPEHUTU qui ont endeuillé les familles des combattants du CNDD-FDD et non des politiciens ou membres de la nouvelle rébellion. Bien évidement les burundais doivent rester vigilants car les dommages collatéraux commencent a se faire sentir un peu partout avec des assassinats ciblés.
De grâce accomplissez votre sale besogne et laissez les innocents en dehors de vos vengeances mutuelles !!!